1. |
Joies grégeoises
03:10
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A moi, les ogres et les opprobres
A moi, les ocres du mois d'octobre
A moi, les chants, les hymnes de paille
A moi, les joies grégeoises dans toutes leurs failles
A moi, le chien qu'embrasera fausse vie
Amour en bois qu'embrasse cette fausse nuit
Cherche un corps pour perdre le mien
Cherche espoir qui n'donnera rien
A moi ces flammes qui, dans la joie
M'embrasent pour n'laisser rien de moi
A nous les gloires et les couronnes
A nos regards posés sur Rome
A nous les gloires et les couronnes
Miroirs pour se voir enfin surhommes
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2. |
Chevauche le tigre
02:29
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(L'âge sombre du Kali Yuga est le couteau, et les rois sont des bouchers ; la justice s'est envolée.
Dans cette nuit obscure du mensonge, la lune de la vérité n'est pas visible partout)
Chevauche le tigre
Un schlass entre les dents
Chevauche le tigre
Jusqu'au buisson ardent
Chevauche le tigre
Sur les vagues d'un âge sombre
Chevauche le tigre
Sur un monde qui s'effondre
Racés, harassés, sans passé, surclassés
Toujours la même fange
Effacés, terrassés, écrasés, encrassés
De l'hommerie, me venge
Chevauche le tigre
Un schlass entre les dents
Chevauche le tigre
Jusqu'au buisson ardent
Chevauche le tigre
Sur les vagues d'un âge sombre
Chevauche le tigre
Sur un monde qui s'éffondre
Au crépuscule des dieux...
Toujours mort, mais joyeux...
Crâne rasé à blanc
Sur des falaises de marbre
Contemplant l'océan
Loin de cette danse macabre
Valsent les mensonges
Les dogmes, les doctrines, les structures, les idoles
Giguent les songes
Les familles, les passions, les espoirs, ma camisole
Au crépuscule des dieux...
Toujours mort, mais joyeux...
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3. |
Interlude
01:11
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Une de mes maximes est: "Le suicide est une prérogative de l'homme."
Ou est une composante de cette prérogative.
Donc, il a écrit:
"Jünger, le suicide." et il s'est tiré une balle.
Le sang est encore sur le papier, c'est extraordinaire.
Le suicide...
Bien... Il est tard je dois aller manger.
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4. |
L'échoué
03:33
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Hier, dans le miroir
J'ai vu un homme absent
Aujourd'hui, encore fuyard
Comme j'aimerais qu'il soit fugant
Ce soir dans le boudoir
L'homme m'attendait, indifférent
Mon reflet dans son rasoir
"Je t'ai cru mort, il y'a longtemps"
Premier sang !
L'échoué me fixe, toujours absent
Deuxième plan !
L'échec au fond d'un trou béant
Troisième cadrant !
Va t'en, va t'en ! Ma cage est close.
Derniers sacrements !
L'échoué me toise toujours morose
Cette nuit dans le miroir
J'ai cherché l'homme absent
Et au fond de mon tiroir
Mon revolver encore fumant
A l'aube dans le dortoir
J'ai trouvé l'homme absent
Pendu à sa victoire
Echoué à son serment
Contemple l'abysse, c'est elle qui s'invite
Au fond d'un coeur de verre brisé, d'enfant abandonné
Les murs murmurent, d'impures injures
L'échoué s'emmure sans sépulture
Premier sang !
L'échoué me fixe, toujours absent
Deuxième plan !
L'échec au fond d'un trou béant
Troisième cadrant !
Va t'en, va t'en ! Ma cage est close.
Derniers sacrements !
L'échoué me toise toujours morose
"La mort est le plus profond souvenir"
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5. |
Toujours gris
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6. |
Essuie J'esquisse
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7. |
Saoûl le seuil
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8. |
Sable froid
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9. |
Toujours gris - Post Oi! edit
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10. |
Помста feat Serhii Mazur
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Krasseville Pays de la Loire, France
Post Oi! duo from M(h)aine et (G)loire.
France
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